Loving memories last forever...

Les québécois nous sommes entre nous, un peuple d'effrontés, de "stuck up" et de mangeux de poutine en série... C'est connu. Mais qu'en est-il quand les autres nations prennent consciences de nos troubles sociaux légers? Daytona est un des lieux de prédilections pour la basse classe social du Québec. C'est avec leurs idées préconçues, leur anglais à moitié machés et leurs libido dans le plafond qu'ils arpentent les plages de Daytona à la recherche de silhouette parfaite à matter. .... (A SUIVRE)....

Nous sommes présentement en pleine campagne électorale provinciale. Nous sommes bientôt en âge de voter, se sera notre tour pour les prochaines élections! Il est donc important de commencer à se monter une idée de la politique.

Il y a trois principaux partis soit le Parti Libéral du Québec (PLQ), le Partie Québécois (PQ) et l’Action Démocratique du Québec (ADQ). Leurs chefs sont respectivement Jean Charest, André Boisclair et Mario Dumont. De ses trois partis, c’est le PLQ qui possède le plus de sièges à l’Assemblée nationale. Il y a aussi d’autres partis assez importants pour être nommés, mais qui ne siège pas à l’Assemblée nationale tel que Québec Solidaire et le Parti Vert.

L’existence d’autant de partis donne plus de choix aux électeurs se qui divise le vote. Les chances d’avoir un gouvernement minoritaire sont donc plus grandes. Les résultats des derniers sondages (CROP-LaPresse) donneraient un gouvernement minoritaire : PLQ à 33%, PQ à 29%, ADQ à 26%, Québec Solidaire à 6% et le Parti Vert également à 6%.

Liste de tous les partis en vigueurs pour les élections du 26 mars 2007.

Action démocratique du Québec/Équipe Mario Dumont

Bloc pot

Parti communiste du Québec

Parti conscience universelle

Parti démocratie chrétienne du Québec

Parti égalité/Equality Party

Parti libéral du Québec/Quebec Liberal Party

Parti marxiste-léniniste du Québec

Parti québécois

Parti unitaire du Québec

Parti vert du Québec/Green Party of Québec

Québec solidaire

Pour plus amples informations, vous pouvez consulter le site suivant : www.electionsquebec.qc.ca

La question des accommodements raisonnables sème la controverse depuis quelques temps. Des juifs qui sont offusqués de voir à travers des fenêtres, des femmes qui s'entrainent aux musulmans qui interdisent à leurs femmes de consulté un obstétricien masculin, mais ou est passé le bon sens? Je suis pour dire qu'il est complètement ridicule de changé nos mœurs et nos façons de vivre pour des gens qui ne sont même pas d'ici! Qui sait, peut-être nous demanderons-t-ils un jour de changé notre passé... Non mais sérieusement, si les immigrants n'étais pas d'accord avec nos loi et nos règlements, pourquoi sont-ils venus ici? Et nous, pauvre peuple de moutons, de suiveux de Bush, de revendeur de sable bitumineux, on se laisse faire: "Bien oui madame allez-y, pourquoi pas porter de burqua? Sa s'arrange bien avec votre teint... qu'on ne peut pas voir parce que vous êtes couverte de TISSUS!"

Des lois, c’est fait pour être respectés… par tout le monde! On ne va pas commencé à faire des exceptions! «  Ha ben la moi heuuu je n’ai pas eu le temps de me faire les sourcils ce matin donc svp, mademoiselle l’infirmière, je vais passer de tout les mourants qui attendent de voir un médecin pour renouveler ma prescription… » Chacun ses raisons! Si le sabbat est une raison de faire passé un juif en premier, des sourcils peuvent l’être pour une dame qui tien à son apparence!

Et le taux de natalité, les québécois ne sont pas capable de le maintenir vous direz! Bien dites-vous que peut-être, si on vivait dans un pays qui nous ressemble avec nos propres idéaux et nos décision, et bien peut-être qu’a ce moment là on aurait le gout d’en faire des enfants!

Le roman Labrèche de Maris-Sissi Labrèche a été publié en 2002 aux éditions boréales. Depuis sa publication, l’univers cynique et pessimiste d’Émilie-Kiki (son personnage principal) est connu d’un bon nombre d’adolescentes. Le livre eut une appréciation considérable vu le public cible restreint. L’ensemble de l’œuvre nous a rendus plus sensible au côté obscure de Montréal.

Le côté autobiographique de l’œuvre donne un sens plus humain à l’histoire. Le récit évoqué par la « l’impératrice du centre-Sud » raconte l’histoire d’un jeune montréalaise de 26 ans qui est follement épris de son professeur de littérature qui en a 57. Au départ, la situation est déjà inhabituelle et c’est ce qui rend l’histoire captivante. Il n’y a pas énormément d’action mais il est étonnant de voir tous ce qu’on peut faire au nom de l’amour. Le vent de réalité qui souffle autour de ce roman nous atteint facilement. On y reconnait les rues où elle vit ses débauches et on comprend vite que ce genre de vie est misérable et malheureusement vraie pour certaines personnes. Le dénouement de la fin est totalement inattendu. Un revirement de situation impossible à prévoir.

Labrèche est un excellent roman qui restera assurément longtemps un de plus apprécié par les jeunes

Journalistes en sarraus blancs

Chacun son domaine, c’est ce que nous tentons de faire comprendre. Pourquoi alors vouloir faire un autre journal? Veulent-ils nous faire la compétition ou simplement prouver que les « chimio-physiciens » du Collège sont eux-aussi, capable d’écrire et de raisonner autres choses que des chiffres? Peut-être qu’ils ont enfin compris que les molécules font de piètres conversations et que Rutherford ne détient pas toute la vérité?

La Galette est en quelque sorte, notre fierté, le résultat du dur labeur de toute l’étape et la matérialisation de nos pensées. L’exclusivité qu’on nous accordait était un privilège et voilà qu’aujourd’hui, il nous devient plus difficile de rejoindre nos lecteurs. Nous ne clamerons pas tout haut : «  Ne lisez pas le Wasabi, La Galette est bien meilleure ». Ce serait une auto-dégradation de penser que l’on doit avoir l’exclusivité pour être lus, pour que l’on s’intéresse à notre travail. Alors chers collègues, redressons-nous! C’est un défi de taille qu’on nous lance et nous détenons l’avantage… Nous avons les outils, nous savons plus que n’importe qui dans cette école (mis à part M. Deschenes) comment construire un bon journal. Il suffit de tout mettre en œuvre…

"Il y a beaucoups d'adultes qui croient qu'être en amour, c'est une affaire d'adulte. Que les enfants jouent à l'amour et que les adultes sont en amour pour de vrai...Moi des fois, j'ai l'impression que c'est le contraire."

Dan Bigras, FOU

Cest le moins qu'on puisse dire, Teddy Geiger est un vraiment DIEU! Lors de son spectacle au Métropolis le 8 novembre dernier, il a su faire lever la foule jusqu'au dernier moment. Après avoir interprêté, sous les cris des jeunes filles en délire, les succès de son album, le public s'est assagit pour apprivoiser ses nouvelles créations. Toujours aussi prometteur, Teddy Geiger qui s'accompagne au piano et à la guitare maintient son style "blues moderne populaire" tant apprécié par la jeunesse. Son petit air naif et son manque de communication avec le public nous rappel son jeune age. Quoiqu'il en soit, son potentiel est frappant.

Le vendredi 9 novembre dernier, le Collège Regina Assumpta présentait à ses élèves une capsule historique sur l'histoire du 20ème siècle.  Des musiques de chaque époque accompagnaient en arrière plan l'information présenté. Chaque évènement marquant se concrétisait d'une scène de film représentative. Bien que fort intéressant pour les élèves du programme de chimie/physique qui n'ont pas de cours d'histoire, les élèves de journalisme n'avaient pratiquement rien à retirer de cette présentation. Ce fut pour eux, l'occasion de récupérer le sommeil perdu lors de la rédaction de leur TRI (Travail de Recherche Intellectuel ou pour la plupart, Travail Rushant Insignifiant) la nuit d'avant. Le Collège avait-il prévu le coup?

Notre article portera sur le tourisme sexuel à Montréal et partout dans le monde. Notre principale source d’information est, pour l’instant, le film Trafic Humain du réalisateur Christian Duguay. Ce film témoigne de la présence du tourisme sexuel grandissant à travers le pays les plus défavorisés. Il exploite aussi l’esclavage sexuel des enfants.

Le film Carnet de Voyage fut réalisé en 2004 en Amérique latine. C’est dans sa langue d’origine, l’espagnol, que Walter Salles porte son film sur la vie d’Ernesto Che Guevara et de son ami Alberto Granado. Après avoir vu la misère du peuple latino au cours de son voyage autour de l’Amérique latine, Che Guevara sent le besoin de faire du changement dans la vie de ces gens, ce qui l’emmène vers une révolution communiste. Les paysages de ce film sont à couper le souffle. Le rythme est lent et constant mais pourtant, on ne perd pas l’intérêt. C’est un film très intéressant autant sur le plan politique où l’on comprend les motivations de Che Guevara, mais aussi du côté humain où l’on voit la vie, misérable pour plusieurs, de ces gens qui habitent le même continent que nous.